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Ces
initiatives, auparavant jugées par certains d’utopies, méritent
d’être mises en avant pour que d’autres ambitions de
ce type prennent le relais.
La Diascom s’est aussi engagé sur le plan de la culture.
En dehors des activités culturelles qu’elles organise en
collaboration avec d’autres associations à l’occasion
de l’anniversaire de l’indépendance, l’organisation
est devenu un véritable bangwé de la culture. Ecrivains
et artistes sont convier dans des conférences pour rencontrer un
public comorien et français désireux de les découvrir.
Il s’agit là, c’est
évident d’une première réussite, même
la Diascom peut encore mieux faire. Mais pour cela elle a besoin de notre
contribution, nous pouvons leur apporter notre modeste soutien, ce sera
notre façon de les encourager et de participer à l’édifice.
En
quelques années l’oraganisation regroupant les associations
comoriennes de France, la Diascom s’est établie, consolidée.
Avec le temps et grâce à l’investissement de personnalités
comme Abdou Salam Saandi, Maoulana Andjilani (Lyon…) l’organisation
s’est étendue dans toutes les grandes villes de France et
continue à enregistrer l’adhésion d’associations
comoriennes souhaitant collaborer avec elle.
La Diascom s’est aujourd’hui
hissé à une position lui permettant d’agir sur le
pays à travers des grands projets ou de faciliter des actions associatives
de développement. Eté 2003, la Diascom parraine et accompagne
jusqu’à sa finition un projet important d’éléctrification
de deux villages dans le nord de Ngazidja. Cet été un autre
projet s est en cours de préparation.
