La
communauté internationale assiste dans l’indifférence
complète à la décomposition de l’archipel des
Comores. Un peuple pacifique, musulman et tolérant depuis la nuit
des temps n’ose lever le doigt pour déloger le militaire
galonné sans exploit militaire pour sauver le pays surtout à
l’époque de Denard et ses affreux.
Les élections des présidents des îles et de l’Union
financées par l’Union européenne et la France ne sont
qu’une supercherie de grande taille. Le moustachu à l’allure
de Che Guevara de l’océan indien foule au pied les institutions
tant défendues à corps et à cri comme la panacée
pour guérir les Comores de cette malaise sociale et économique.
Les rapports des experts étrangers sont apocalyptiques. La communauté
internationale, notamment les pays créditeurs des Comores doivent
fermer les robinets en imposant un blocus qui l’obligerait à
quitter le pouvoir. Le gel des comptes recueillant les finances de la
Grande-Comore a pour but de mettre à genou le président
de l’île. Ce geste est un témoignage accablant d’une
démocratie autoritaire consistant à museler ses adversaires
en opposition de salon.
Les chefs de clans composés de Souef, Msaidié, Ambari et
Boléro n’apportent pas au pays le bien-être des Comoriens
qu’ils se gargarisent de claironner à coups de sirène.
Le ridicule ne tue pas aux îles de la lune car aujourd’hui
les Comores sont dirigés par des cadres prétendument instruits,
alors que l’archipel sombre dans la banqueroute.
Réagissez
à cet article, clickez ici
|